Ce dernier ajoute : « Nous voyons également des signes que l’économie connaît de sérieuses difficultés, mais le régime a encore les moyens d’y faire face grâce à l’Irak et à l’Iran, même si Téhéran est lui-même confronté à de gros problèmes avec les sanctions » imposées par la communauté internationale en raison des soupçons qui pèsent sur la finalité de son programme nucléaire.
Et ce responsable de reconnaître que « jusqu’à il y a quelques mois, Israël ne souhaitait pas la chute de Bachar ». Mais apparemment les choses ont changé.
L'analyse du Mossad est partagée par les renseignements américains pour lesquels les défections d'officiers restent limitées, et la cohésion encore forte dans l'entourage immédiat du président syrien.